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Posted By admin On samedi, avril 14th, 2012 With 2 Comments

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Displaying 9 Comments
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  1. Bonjour; J’admire votre talent , je vous souhaite bonne chance et bonne continuité .

  2. marie dit :

    Bonjour,
    merci de bien vouloir se pencher sur les différentes administrations de la ville aux service du citoyen DPI, CNSS, CRI ANAPEC DPCI etc….. il y’a lieu de constater une grande différence dans la qualité de l’accueil , et du service je suis prête à vous informer des coulisses………………
    bonne continuation

  3. HAJY Mostafa dit :

    Bonjour, Pour toucher régulièrement vos lecteurs, il est grand temps que M24 se dote d’une newsletter, ou même d’une application ou un système d’ alertes…Au delà de cette suggestion, je vous souhaite une bonne continuation. Hajy, Paris

  4. Jean-Paul Ruis à El Jadida après cinquante ans d’absence.

    Après 50 ans d’absence, Jean-Paul Ruis arrivent à El Jadida, le 12 septembre 2019, a senti un petit pincement au cœur. Il ne retrouvait plus l’image qui a avait gardé de la ville de son enfance et fut étonné de la disparition des loisirs (culturels). Mais il a retrouvé quelques anciens amis Bouchaib, (qui a écrit un livre sur le cheval dans le Doukkala) Abdelkrim Moussa Chergui et cela été pour lui important, mais malheureusement il n’a pas pu voir Moussa étant malade, bien désolant. Voici son témoignage ; Je m’appelle Jean-Paul Ruis et j’ai passé toute mon enfance et ma jeunesse à El Jadida. Mon père Julien Ruis était gendarme du temps du protectorat et, après l’indépendance, il s’est vu prolonge son statut au Maroc au titre de coopérant technicien auprès de la gendarmerie à Casablanca jusque 1965.Mon grand-père, fonctionnaire au Haras (La Remonte) d’El Jadida, y a passé 45 ans de sa vie, il s’occupait également des courses de chevaux à l’Hippodrome. Ma mère Geneviève surnommé Ginette Ruis, née Parent, s’est mariée avec mon père à El Jadida. Vu le métier de mon père qui nécessitait de fréquents déplacements, nous avons habité chez mes grands-parents. Avec mes deux sœurs et les autres enfants de la Remonte nous allions à l’école avec un petit bus le chauffeur s’appeler Ismail du fait de l’éloignement des établissements scolaire du centre-ville. Une partie de notre scolarité a été faite à l’école du marché aujourd’hui Mohammed V. Dans les années 40 les enfants était transporté avec une calèche El Jadida dans les années 40 à 60 était une belle ville qui disposait de tous les atouts ; plage, hôpital, théâtre, lycée et marches abondants. Il vivait une communauté européenne importante française, espagnole, italienne, portugaise et juive. El Jadida était considérée comme une ville « Tranquille » ou tout le monde se connaissait. Pendant la deuxième guerre mondiale, par exemple, la situation sociale resta paisible malgré quelques restrictions au niveau du ravitaillement pour certaines denrées alimentaires de base, Le Haras (la Remonte) ou on habitait, était dédiée à la production de chevaux sous la supervision du vétérinaire, le docteur Auber. C’était un établissement renommé dont l’actions prolongeait jusqu’à à Settat et même Sidi Kacem et même plus loin dans le Doukkala. Le roi Mohammed V a visité le Haras (la Remonte) dans les années 1950.Il y avait beaucoup de personnel qui travaillait principalement des palefreniers. Plusieurs familles Marocaines et étrangères y vivaient sur place. Je peux citer tous les noms mais il y avait par exemple DC Auber Kole Parent Paul Parent Henri Moulis Pouquet Le maréchal Ferrand Marin Chergui Mokhtar Almodovar Herran Gugenbuhl Cerruti Dupied (un suisse marie avec une Marocaine, au décède de celui si elle s’est mariée avec Brun) Degraine Pertuize dont un fils était devenu pilote de Valery Giscard D’Estaing en quittant El Jadida en 1958 pour Casablanca jusque 1964 pour aller à Oran en Algérie jusque 1968 pour rendre en France, je suis revenue au Maroc jusque 1969 et delà j´ai immigre vers Allemagne pour travailler et y vivre. El Jadida aujourd’hui à beaucoup changer industrialisées population quadruple par rapport à la période que J’ai vécu il y a un demi-siècle. Mais ce que je déplore c’est un peu la dégradation de certaines chaussées, la prolifération des sacs de plastiques emportes par le vent à droite et à gauche. La route de Marrakech, par exemple, qui était une superbe avenue bien propre ou l’on avait une vue directe sur l’extérieur de la ville aujourd’hui elle n’a plus la même fraicheur l’absence totale des salles de cinémas notamment le cinéma Paris et je ne comprends pas pourquoi les cinémas existent toujours en France alors qu’elles ont totalement disparus de Mazagan. Où est le Deauville du Maroc de nos ancêtres.

    PS : Je remercie Hanuder de nous avoir conduit au Haras (la remonte), Cimetière et à Hippodrome et en parlant avec diverses personnes nous a donner le nom de Abderrahim Beraich grâce à lui qui a contacté la famille Chergui mille fois merci.

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